La capacité à vivre au sein de l’équipage repose sur des qualités humaines et professionnelles basées sur la confiance, la compétence, la solidarité, la disponibilité et la motivation de chacun, car la chaîne humaine ainsi formée n’a que la force de son maillon le plus faible qu’il faut aider à tenir et grandir. Diriger, un art ? Vous aurez la solution.
La discipline est la meilleure façon d’exercer sa liberté. La patience est la première forme du courage. La cohésion est la source du bonheur d’entreprendre ensemble, le collectif primant sur l’individuel. L’autorité passe par l’exemplarité de celui qui l’exerce. Le temps est un élément majeur à prendre en considération afin de ne pas laisser gagner la violence, car il y a un lien très étroit entre le temps et la violence, celui de l’impatience qui mène à la colère.
Oui, vivre en équipage, c’est bien être placé face à l’humanité, celle du mouvement perpétuel, du questionnement, de l’incertitude, de la diversité, des convictions et non des certitudes. On y apprend la bienveillance et l’exigence, la patience et la tolérance, l’espérance et la transcendance. L’humain est bien le premier et seul vrai trésor.
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